C'est clair que le manque de responsabilité est un problème général. On le voit dans plein de domaines, pas que dans l'immobilier.
Pour revenir aux agents immobiliers, je me demande si une solution ne serait pas de renforcer leur formation continue et de systématiser les audits de leurs pratiques. Une étude de la FNAIM (Fédération Nationale de l'Immobilier) montre que seulement 60% des agents immobiliers suivent régulièrement des formations pour se tenir à jour des évolutions légales et techniques. C'est insuffisant. Et puis, il faudrait peut-être créer un système de sanctions plus dissuasif en cas de manquement à leurs obligations. Je sais pas, des amendes plus salées, des suspensions temporaires de leur carte professionnelle, voire des radiations définitives pour les cas les plus graves.
Parce que là, le problème, c'est que le jeu en vaut souvent la chandelle pour les agents peu scrupuleux. Ils prennent le risque de mentir ou d'omettre des informations, parce qu'ils savent que les chances d'être pris et sanctionnés sont relativement faibles. Selon une enquête de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes), seulement 5% des agences immobilières font l'objet d'un contrôle chaque année. C'est pas assez pour dissuader les comportements frauduleux.
Donc, si on veut vraiment améliorer les choses, il faut agir sur plusieurs fronts : la formation, le contrôle, et les sanctions. Et peut-être aussi sensibiliser davantage les acheteurs potentiels sur leurs droits et les précautions à prendre avant de signer un compromis de vente. Mais bon, c'est un vaste chantier... Et on en revient toujours à la question de l'intégrité personnelle de chacun. Difficile de légiférer là-dessus.
L'idée des briques de récup est top ! Ça donne un cachet fou, c'est sûr. Par contre, faut bien vérifier leur état, hein. Pas question de se retrouver avec un muret qui s'effrite au premier coup de vent. Et MateriauxZen37 a raison, les pavés drainants, c'est une super option. On y pense pas toujours, mais si le terrain est un peu galère, c'est vraiment un plus. Surtout avec les épisodes de pluie qu'on se prend ces derniers temps. Je me demande si Mélodistrade a regardé du côté des prix ? Parce que la brique, c'est joli, mais ça chiffre vite. Et là, les données sont claires : le parpaing reste l'option la moins chère, autant à l'achat qu'à la pose. Faut voir si le jeu en vaut la chandelle, niveau budget. La brique en terre cuite, c'est un bon point pour l'écologie, c'est clair. Mais bon, faut relativiser. L'argile, c'est pas non plus la ressource la plus renouvelable de la planète. Et puis, la cuisson, ça consomme pas mal d'énergie. Donc, faut pas non plus se voiler la face en pensant qu'on sauve la planète avec un muret en briques. Après, c'est sûr que si on compare avec du béton, c'est mieux. Mais faut aussi penser à la durée de vie. Si le muret en briques tient 50 ans et que celui en parpaings tient 30 ans, au final, c'est peut-être plus écologique de partir sur le plus durable, même si à la base, il est moins "vert". C'est un calcul à faire.
Je rebondis sur les fondations. Tu dis que c'est surtout pour délimiter et habiller, mais tu comptes y mettre quoi derrière ce muret ? Des plantes grimpantes, un talus de terre... ? Parce que mine de rien, ça peut jouer sur la pression et donc la nécessité d'avoir des fondations plus solides. Juste pour éviter les mauvaises surprises à long terme !
Spock80 a raison, Loc'Avantages c'est une option à ne pas négliger. Par contre, faut bien étudier les conditions, parce que l'engagement est sur plusieurs années et le loyer est plafonné, donc faut voir si ça colle avec ses objectifs de rentabilité. Mais c'est un calcul à faire, clairement.
Concernant l'impact sur les assurances, c'est une excellente question. Il est probable qu'elles ajustent leurs polices pour tenir compte des risques accrus liés à l'occupation illégale. On pourrait voir des primes plus élevées ou des exclusions spécifiques pour les dommages causés par des squatteurs. Il faudra surveiller comment cela évolue.