Ah, les joies de l'immobilier... 😅 C'est le genre de situation qui te donne envie de tout casser (sauf, évidemment, ta maison qui a déjà assez de problèmes comme ça !).
Pour avoir l'heure juste, je pense qu'il faut effectivement creuser la question du vice caché. Si l'agent était au courant des fuites et qu'il a sciemment omis de te le dire, ça change pas mal la donne. Il y a une jurisprudence assez fournie sur le sujet, et les tribunaux sont souvent assez regardants sur le devoir d'information des vendeurs et de leurs représentants.
L'expertise, c'est un passage obligé, à mon avis. Ça permet de chiffrer précisément les dégâts et les travaux à prévoir. Et surtout, ça te donne un argument béton pour négocier, ou pour engager une procédure si nécessaire. Parce que bon, les paroles s'envolent, mais les écrits (et les rapports d'expert) restent ! 😉
Dans ce genre d'affaire, la charge de la preuve repose sur toi. C'est à toi de démontrer que le vice était caché, qu'il existait avant la vente, et qu'il rend le bien impropre à son usage normal. Pas simple, mais pas insurmontable non plus. D'où l'importance de l'expertise, encore une fois.
Après, pour ce qui est des recours, tu peux te tourner vers plusieurs pistes : la négociation amiable (on ne sait jamais, ça peut marcher !), la médiation (un tiers impartial peut aider à trouver un terrain d'entente), ou la voie judiciaire (assignation en justice). Chaque option a ses avantages et ses inconvénients, et le choix dépendra de ton profil et de tes objectifs. Mais ne tarde pas trop, car il y a des délais à respecter pour agir. Courage ! 💪
Clair, l'expertise c'est la base, un peu comme un bon diagnostic avant de commencer à tripatouiller des matériaux de réemploi... Nan, rien à voir, pardon !
Plus sérieusement, Svetlana, faut pas hésiter à bien documenter chaque étape. Photos, vidéos, échanges de mails... Plus t'en as, mieux c'est. Et Mélodistrade a raison, faut pas tarder à se bouger.
Bonjour,
Petit retour suite à vos conseils et ceux de Mélodistrade. J'ai suivi vos recommandations et ai fait réaliser une expertise par un professionnel agréé. Le rapport est sans appel : les infiltrations étaient bien antérieures à la vente et l'agent immobilier ne pouvait raisonnablement pas les ignorer.
Fort de ce rapport, j'ai envoyé une mise en demeure à l'agence. Ils font les morts pour le moment. Prochaine étape : la voie juridique. J'ai pris contact avec un avocat spécialisé. Merci encore pour votre aide, ça m'a vraiment donné les billes pour avancer.
Svetlana, c'est navrant d'entendre ça, mais au moins, tu as bétonné ton dossier avec l'expertise. C'est le genre de situation où tu te demandes comment certaines personnes peuvent dormir la nuit...
L'agence qui fait la sourde oreille, c'est malheureusement classique. Ils espèrent que tu vas te décourager. Surtout, ne lâche pas l'affaire ! Tu as raison de passer à la vitesse supérieure avec un avocat spécialisé. C'est le meilleur moyen de faire valoir tes droits. La justice est parfois lente, mais elle finit souvent par trancher en faveur de la victime quand la mauvaise foi est aussi flagrante.
En tant que conseiller en habitat zéro déchet, je suis régulièrement confronté à des malfaçons et à des omissions lors de transactions immobilières. C'est désolant de voir à quel point certains professionnels manquent d'éthique. D'ailleurs, une étude de l'ADEME (Agence de la transition écologique) révèle que près de 30% des litiges immobiliers sont liés à des vices cachés, ce qui souligne l'ampleur du problème.
Pour info, sache qu'il existe aussi des assurances protection juridique qui peuvent prendre en charge une partie des frais d'avocat et d'expertise. Si tu en as une, n'hésite pas à la solliciter. Cela peut alléger considérablement le coût de la procédure. Le coût moyen d'une procédure judiciaire pour un vice caché en immobilier se situe entre 5 000 et 15 000 euros, selon la complexité de l'affaire et la durée de la procédure (source : INC – Institut National de la Consommation).
Et tiens-nous au courant de la suite, ça peut servir à d'autres personnes qui se trouveraient dans la même situation. Bon courage pour la suite !
C'est bien que tu aies fait l'expertise, mais je suis plus mesurée quant à l'issue du procès. Même avec un rapport accablant, la justice ne tranche pas *toujours* en faveur de la victime, surtout si l'agence conteste et que l'agent en question jure ses grands dieux qu'il n'était pas au courant. Ça dépendra beaucoup de la qualité de ton avocat et de sa capacité à démonter leurs arguments.
Svetlana, tu as raison de tempérer ton optimisme. La justice, c'est jamais une science exacte, et même avec un dossier en béton, il y a toujours une part d'aléatoire. C'est pas parce que l'ADEME nous dit que 30% des litiges immobiliers sont liés à des vices cachés, qu'on gagne forcément à la fin. Ce chiffre montre surtout que le problème est courant, pas que la victoire est garantie.
Ce que tu dis sur la qualité de l'avocat est juste. C'est lui qui va faire la différence, surtout si l'agence a un bon avocat aussi. Et puis, faut voir comment le juge va interpréter les preuves. Un rapport d'expertise, c'est bien, mais ça reste l'avis d'un expert. L'agence peut en mandater un autre pour contredire le premier, et là, ça devient plus compliqué.
Faut aussi se préparer à ce que la procédure prenne du temps, beaucoup de temps. Les affaires immobilières, c'est rarement réglé en quelques mois. Ça peut durer des années, et pendant ce temps, tu as ton sous-sol qui fuit et des frais d'avocat qui s'accumulent. Les 5000 à 15000 euros mentionnés par DéchetDéfis63, c'est une fourchette, mais ça peut facilement déraper si ça traîne.
Et puis, il y a l'aspect psychologique. Un procès, c'est usant nerveusement. Faut être prêt à affronter les arguments de l'autre partie, à répondre aux questions du juge, à revivre l'histoire à chaque audience. C'est pas facile tous les jours. Donc, même si tu as l'impression d'avoir raison à 100%, faut garder la tête froide et ne pas s'emballer.
Cela dit, je ne dis pas qu'il ne faut pas y aller. Au contraire, si tu as un bon avocat et que tu es prête à t'investir, il faut tenter le coup. Mais il faut être consciente des risques et des difficultés qui t'attendent. Bon courage pour la suite !
Rousseau a raison, il faut se préparer psychologiquement, c'est très important. C'est une épreuve nerveuse. C'est pourquoi, déjà, il faut essayer de prendre du recul et ne pas se laisser dévorer par le stress. Je vous souhaite bon courage.
Absolument Svetlana, la dimension psychologique est souvent sous-estimée dans ces situations. C'est un marathon, pas un sprint. Et pour compléter ce que tu dis, je pense qu'il est aussi important de se faire accompagner, pas seulement par un avocat, mais aussi par des proches ou un professionnel (thérapeute, coach...) pour gérer le stress et les émotions pendant la procédure. Garder le moral, c'est déjà une victoire en soi.
Pour faire un petit point, on a bien insisté sur l'importance de l'expertise pour prouver le vice caché et la mauvaise foi de l'agence. Après, l'expérience montre qu'il faut s'attendre à une procédure longue et potentiellement coûteuse, sans garantie de succès, et que l'aspect psychologique est très important à gérer.
C'est un bon résumé Svetlana.
Ceci dit, je trouve toujours hallucinant que des agents immobiliers puissent agir de la sorte. On dirait qu'il n'y a aucune conséquence pour eux de mentir ou de dissimuler des informations importantes. C'est un peu comme dans mon métier, si je faisais n'importe quoi, les répercussions seraient immédiates et graves. Bref, c'était ma petite pensée du jour.
Bon courage pour la suite de la procédure.
Complètement d'accord, Visionnaire85. Le manque de conséquences, c'est ce qui encourage les comportements malhonnêtes. Et merci pour tes encouragements !
C'est clair que le manque de responsabilité est un problème général. On le voit dans plein de domaines, pas que dans l'immobilier.
Pour revenir aux agents immobiliers, je me demande si une solution ne serait pas de renforcer leur formation continue et de systématiser les audits de leurs pratiques. Une étude de la FNAIM (Fédération Nationale de l'Immobilier) montre que seulement 60% des agents immobiliers suivent régulièrement des formations pour se tenir à jour des évolutions légales et techniques. C'est insuffisant. Et puis, il faudrait peut-être créer un système de sanctions plus dissuasif en cas de manquement à leurs obligations. Je sais pas, des amendes plus salées, des suspensions temporaires de leur carte professionnelle, voire des radiations définitives pour les cas les plus graves.
Parce que là, le problème, c'est que le jeu en vaut souvent la chandelle pour les agents peu scrupuleux. Ils prennent le risque de mentir ou d'omettre des informations, parce qu'ils savent que les chances d'être pris et sanctionnés sont relativement faibles. Selon une enquête de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes), seulement 5% des agences immobilières font l'objet d'un contrôle chaque année. C'est pas assez pour dissuader les comportements frauduleux.
Donc, si on veut vraiment améliorer les choses, il faut agir sur plusieurs fronts : la formation, le contrôle, et les sanctions. Et peut-être aussi sensibiliser davantage les acheteurs potentiels sur leurs droits et les précautions à prendre avant de signer un compromis de vente. Mais bon, c'est un vaste chantier... Et on en revient toujours à la question de l'intégrité personnelle de chacun. Difficile de légiférer là-dessus.
Cousteau, je suis d'accord avec toi sur le renforcement de la formation continue. L'immobilier est un domaine complexe, avec des lois qui évoluent constamment. Si même pas 6 agents immobiliers sur 10 se forment régulièrement, c'est inquiétant...
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Ah, les joies de l'immobilier... 😅 C'est le genre de situation qui te donne envie de tout casser (sauf, évidemment, ta maison qui a déjà assez de problèmes comme ça !). Pour avoir l'heure juste, je pense qu'il faut effectivement creuser la question du vice caché. Si l'agent était au courant des fuites et qu'il a sciemment omis de te le dire, ça change pas mal la donne. Il y a une jurisprudence assez fournie sur le sujet, et les tribunaux sont souvent assez regardants sur le devoir d'information des vendeurs et de leurs représentants. L'expertise, c'est un passage obligé, à mon avis. Ça permet de chiffrer précisément les dégâts et les travaux à prévoir. Et surtout, ça te donne un argument béton pour négocier, ou pour engager une procédure si nécessaire. Parce que bon, les paroles s'envolent, mais les écrits (et les rapports d'expert) restent ! 😉 Dans ce genre d'affaire, la charge de la preuve repose sur toi. C'est à toi de démontrer que le vice était caché, qu'il existait avant la vente, et qu'il rend le bien impropre à son usage normal. Pas simple, mais pas insurmontable non plus. D'où l'importance de l'expertise, encore une fois. Après, pour ce qui est des recours, tu peux te tourner vers plusieurs pistes : la négociation amiable (on ne sait jamais, ça peut marcher !), la médiation (un tiers impartial peut aider à trouver un terrain d'entente), ou la voie judiciaire (assignation en justice). Chaque option a ses avantages et ses inconvénients, et le choix dépendra de ton profil et de tes objectifs. Mais ne tarde pas trop, car il y a des délais à respecter pour agir. Courage ! 💪
Merci Mélodistrade, c'est super complet comme réponse. Je vais regarder tout ça attentivement. L'expertise semble incontournable, en effet.
Clair, l'expertise c'est la base, un peu comme un bon diagnostic avant de commencer à tripatouiller des matériaux de réemploi... Nan, rien à voir, pardon ! Plus sérieusement, Svetlana, faut pas hésiter à bien documenter chaque étape. Photos, vidéos, échanges de mails... Plus t'en as, mieux c'est. Et Mélodistrade a raison, faut pas tarder à se bouger.
Bonjour, Petit retour suite à vos conseils et ceux de Mélodistrade. J'ai suivi vos recommandations et ai fait réaliser une expertise par un professionnel agréé. Le rapport est sans appel : les infiltrations étaient bien antérieures à la vente et l'agent immobilier ne pouvait raisonnablement pas les ignorer. Fort de ce rapport, j'ai envoyé une mise en demeure à l'agence. Ils font les morts pour le moment. Prochaine étape : la voie juridique. J'ai pris contact avec un avocat spécialisé. Merci encore pour votre aide, ça m'a vraiment donné les billes pour avancer.
Svetlana, c'est navrant d'entendre ça, mais au moins, tu as bétonné ton dossier avec l'expertise. C'est le genre de situation où tu te demandes comment certaines personnes peuvent dormir la nuit... L'agence qui fait la sourde oreille, c'est malheureusement classique. Ils espèrent que tu vas te décourager. Surtout, ne lâche pas l'affaire ! Tu as raison de passer à la vitesse supérieure avec un avocat spécialisé. C'est le meilleur moyen de faire valoir tes droits. La justice est parfois lente, mais elle finit souvent par trancher en faveur de la victime quand la mauvaise foi est aussi flagrante. En tant que conseiller en habitat zéro déchet, je suis régulièrement confronté à des malfaçons et à des omissions lors de transactions immobilières. C'est désolant de voir à quel point certains professionnels manquent d'éthique. D'ailleurs, une étude de l'ADEME (Agence de la transition écologique) révèle que près de 30% des litiges immobiliers sont liés à des vices cachés, ce qui souligne l'ampleur du problème. Pour info, sache qu'il existe aussi des assurances protection juridique qui peuvent prendre en charge une partie des frais d'avocat et d'expertise. Si tu en as une, n'hésite pas à la solliciter. Cela peut alléger considérablement le coût de la procédure. Le coût moyen d'une procédure judiciaire pour un vice caché en immobilier se situe entre 5 000 et 15 000 euros, selon la complexité de l'affaire et la durée de la procédure (source : INC – Institut National de la Consommation). Et tiens-nous au courant de la suite, ça peut servir à d'autres personnes qui se trouveraient dans la même situation. Bon courage pour la suite !
C'est bien que tu aies fait l'expertise, mais je suis plus mesurée quant à l'issue du procès. Même avec un rapport accablant, la justice ne tranche pas *toujours* en faveur de la victime, surtout si l'agence conteste et que l'agent en question jure ses grands dieux qu'il n'était pas au courant. Ça dépendra beaucoup de la qualité de ton avocat et de sa capacité à démonter leurs arguments.
Svetlana, tu as raison de tempérer ton optimisme. La justice, c'est jamais une science exacte, et même avec un dossier en béton, il y a toujours une part d'aléatoire. C'est pas parce que l'ADEME nous dit que 30% des litiges immobiliers sont liés à des vices cachés, qu'on gagne forcément à la fin. Ce chiffre montre surtout que le problème est courant, pas que la victoire est garantie. Ce que tu dis sur la qualité de l'avocat est juste. C'est lui qui va faire la différence, surtout si l'agence a un bon avocat aussi. Et puis, faut voir comment le juge va interpréter les preuves. Un rapport d'expertise, c'est bien, mais ça reste l'avis d'un expert. L'agence peut en mandater un autre pour contredire le premier, et là, ça devient plus compliqué. Faut aussi se préparer à ce que la procédure prenne du temps, beaucoup de temps. Les affaires immobilières, c'est rarement réglé en quelques mois. Ça peut durer des années, et pendant ce temps, tu as ton sous-sol qui fuit et des frais d'avocat qui s'accumulent. Les 5000 à 15000 euros mentionnés par DéchetDéfis63, c'est une fourchette, mais ça peut facilement déraper si ça traîne. Et puis, il y a l'aspect psychologique. Un procès, c'est usant nerveusement. Faut être prêt à affronter les arguments de l'autre partie, à répondre aux questions du juge, à revivre l'histoire à chaque audience. C'est pas facile tous les jours. Donc, même si tu as l'impression d'avoir raison à 100%, faut garder la tête froide et ne pas s'emballer. Cela dit, je ne dis pas qu'il ne faut pas y aller. Au contraire, si tu as un bon avocat et que tu es prête à t'investir, il faut tenter le coup. Mais il faut être consciente des risques et des difficultés qui t'attendent. Bon courage pour la suite !
Rousseau a raison, il faut se préparer psychologiquement, c'est très important. C'est une épreuve nerveuse. C'est pourquoi, déjà, il faut essayer de prendre du recul et ne pas se laisser dévorer par le stress. Je vous souhaite bon courage.
Absolument Svetlana, la dimension psychologique est souvent sous-estimée dans ces situations. C'est un marathon, pas un sprint. Et pour compléter ce que tu dis, je pense qu'il est aussi important de se faire accompagner, pas seulement par un avocat, mais aussi par des proches ou un professionnel (thérapeute, coach...) pour gérer le stress et les émotions pendant la procédure. Garder le moral, c'est déjà une victoire en soi.
Pour faire un petit point, on a bien insisté sur l'importance de l'expertise pour prouver le vice caché et la mauvaise foi de l'agence. Après, l'expérience montre qu'il faut s'attendre à une procédure longue et potentiellement coûteuse, sans garantie de succès, et que l'aspect psychologique est très important à gérer.
C'est un bon résumé Svetlana. Ceci dit, je trouve toujours hallucinant que des agents immobiliers puissent agir de la sorte. On dirait qu'il n'y a aucune conséquence pour eux de mentir ou de dissimuler des informations importantes. C'est un peu comme dans mon métier, si je faisais n'importe quoi, les répercussions seraient immédiates et graves. Bref, c'était ma petite pensée du jour. Bon courage pour la suite de la procédure.
Complètement d'accord, Visionnaire85. Le manque de conséquences, c'est ce qui encourage les comportements malhonnêtes. Et merci pour tes encouragements !
C'est clair que le manque de responsabilité est un problème général. On le voit dans plein de domaines, pas que dans l'immobilier. Pour revenir aux agents immobiliers, je me demande si une solution ne serait pas de renforcer leur formation continue et de systématiser les audits de leurs pratiques. Une étude de la FNAIM (Fédération Nationale de l'Immobilier) montre que seulement 60% des agents immobiliers suivent régulièrement des formations pour se tenir à jour des évolutions légales et techniques. C'est insuffisant. Et puis, il faudrait peut-être créer un système de sanctions plus dissuasif en cas de manquement à leurs obligations. Je sais pas, des amendes plus salées, des suspensions temporaires de leur carte professionnelle, voire des radiations définitives pour les cas les plus graves. Parce que là, le problème, c'est que le jeu en vaut souvent la chandelle pour les agents peu scrupuleux. Ils prennent le risque de mentir ou d'omettre des informations, parce qu'ils savent que les chances d'être pris et sanctionnés sont relativement faibles. Selon une enquête de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes), seulement 5% des agences immobilières font l'objet d'un contrôle chaque année. C'est pas assez pour dissuader les comportements frauduleux. Donc, si on veut vraiment améliorer les choses, il faut agir sur plusieurs fronts : la formation, le contrôle, et les sanctions. Et peut-être aussi sensibiliser davantage les acheteurs potentiels sur leurs droits et les précautions à prendre avant de signer un compromis de vente. Mais bon, c'est un vaste chantier... Et on en revient toujours à la question de l'intégrité personnelle de chacun. Difficile de légiférer là-dessus.
Cousteau, je suis d'accord avec toi sur le renforcement de la formation continue. L'immobilier est un domaine complexe, avec des lois qui évoluent constamment. Si même pas 6 agents immobiliers sur 10 se forment régulièrement, c'est inquiétant...